Une source unique, née d'un territoire préservé : l'Auvergne avec ses volcans millénaires, inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Avec une haute minéralité contenu, l'eau thermale de Cosmauvergne était déjà appréciée des Romains, passionnés de baignade, pour ses vertus curatives. Elle permettait de guérir les fièvres, les rhumatismes ainsi que de panser les plaies. On raconte qu'en période de peste, une statue de Sainte Marguerite avait été retrouvée dans l'Allier, expliquant que la terrible maladie n'avait jamais traversé la rivière et épargné le village de Saint Maurice.
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Au milieu du XIXe siècle, les thermes de Sainte-Marguerite-les-Bains accueillaient une clientèle curieuse désireuse de découvrir les vertus curatives de l'eau. L'établissement rencontre un vif succès, avec des cabines de bains, des soins vapeur et des douches hydrothérapeutiques alimentées directement par la source.
En 1965, les thermes ferment, mais la source continue d'attirer des adeptes, un nombre considérable de qui, chaque année, continuent de bénéficier de cette eau bienfaisante
En 1947, le Docteur Jean Bruyère publie un premier document sur les sources Sainte-Marguerite et les richesses naturelles de ce bassin thermo-minéral. Ses observations cliniques vérifient le rôle cicatrisant joué par l'eau sur les affections cardio-artérielles et sur ce qu'on appelait alors les « lésions cutanées-muqueuses », comme l'eczéma.
En 2016, lors d'une randonnée, le Docteur en Pharmacie Philippe Augier redécouvre l'eau et ses vertus curatives. Les habitants l'informent qu'il est bien connu pour l'effet film hydratant qu'il laisse sur la peau. Naturaliste et amoureux de l'Auvergne, il est convaincu par les vertus curatives de ce milieu volcanique, et se plonge dans l'étude de cette eau.
